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Ghislaine

Ils ont écrit...




Un mille à pas lents ( la Porte )
 
 
Le titre est extrait d'une citation de François d'Assise. On devine les mots d'une retraite, les poèmes d'une ascèse (...) On devine aussi ce travail sur soi, l'essai de détachement de la pesanteur et des tracas journaliers, vers plus de légèreté et de grâce.
Jacques Morin (revue Décharge 173)

Chemin faisant, le poète s'émerveille et nous émerveille de la fragile beauté du monde. Un rien, un souffle et des pétales de neige jonchent, sous le cerisier, la terre du poème. Paysage mutique "pas même un battement d'ailes" ne vient briser la tendre porcelaine d'un jour nouveau. Et le silence appelle le silence. Et la nature, alléluia, n'est plus qu'un don de l'Éternel effeuillant, entre d'invisibles doigts, nos instants éphémères. Jean -Claude Albert Coiffard

Des pages de finesse et de lumière dans l'esprit de Saint François. Eric Simon

Cette toute petite mais si jolie évocation franciscaine, un grand livre !  
Nathalie Fréour 





 Si brève l'éclaircie ( Éditions Henry)



Cet ensemble est organique, respire bien " à l'intérieur"" comme une oraison murmurée à l'oreille (...) cette "éclaircie" nous dure longtemps après le livre fermé.Gilles Baudry

Un ton juste et une perception philosophique que j'apprécie par la distance que l'on peut mettre entre soi et le monde. Maria Desmée


                                                                        


Il y a du chant dans ces poèmes, un chant aux tonalités contrastées qui ressortent sur fond de silence. Rythmée tantôt par le timbre du fado, tantôt par le chant des oiseaux, l'émotion passe. Marie-Hélène Prouteau

Si brève l’éclaircie nous donne rendez-vous "Sur le seuil de la porte, dans la  nuit profonde" là où poésie et éternité, secrètement, se donnent à la "lumière du jour". Un recueil de la profondeur du chercheur de lumière. Il témoigne avec grâce de la présence au monde de son auteur.    Brigitte Maillard

Longue errance et méditation, ce livre de Ghislaine Lejard est baigné de lumière, lumière du jour et lumière spirituelle. La lumière en est le fil conducteur.
Pour l’auteure, il est urgent de prendre son temps, de regarder, de se regarder et d’avancer vers une "poésie du soir (qui) éblouit l’aurore à venir".
Roger Froger




Rôder autour d’une présence AUTRE (absence bien présente !) : voilà le sentiment le plus profond que les poèmes de ce recueil de Ghislaine Lejard m’ont laissé. On cherche, on renifle, on écrit, on s’émeut, on prie, on se cache, on se montre, on s’émerveille, on s’observe, on s’abyme, on s’envole, on donne une nouvelle chance aux mots, on quête.  Sanda Voïca



Si ce texte puise sa force dans une foi vivante et profonde se révélant sous des mots harmonieux, lumineux... On peut sans la vigueur de cette foi le partager vraiment...
Ce désir d’infini n’est-il, pas au fond, universel ? Clara Regy

Entre la plénitude d’un instant et la quête de l’éternité, les poèmes de Ghislaine Lejard nous disent une belle manière d’habiter le monde, flux et reflux, de capter la vie qui passe « dans l’éblouissement d’une pluie de pétales », d’avancer dans la brume, le clair-obscur ou le plein soleil, les sens ouverts aux offrandes quotidiennes, à la beauté qui en sait plus que nous, l’énigme restant la donnée fondamentale du parcours. Marilyse Leroux

 

  Poésie de la vie apaisée et de la joie du partage, tour à tour, murmures du silence et éclats de lumière. Une poésie de l'attente, entre terre et ciel, de cet ailleurs déjà présent mais toujours ô combien insaisissable:  Voyageurs d'éternité... sans rien dévoiler du mystère, vous portez sur les chemins l'attente de DieuMichel-Xavier Fressard

  Votre livre « Si brève l'éclaircie » est d'une haute spiritualité. Un titre lumineux et partout dans l'ouvrage cette même lumière !  Bernadette Throo

Ghislaine Lejard fixe dans le livre, tels des éclats de lumière, des éclats de vie – elle nous montre l’écriture du silence qui, entre les mots de notre quotidien, s’applique à nous écrire, à l’encre du soleil, ce que nous cache le Mystère.  Jean -Claude Albert Coiffard

 Quête spirituelle, la poésie de Ghislaine Lejard nomme ce qui nous entoure dans une langue exacte, dépouillée qui sait tresser les choses de ce monde et les aperçus métaphysiques. Écoutons son chant clair et mystérieux.  Christian Bulting




Orphée et Eurydice ( Éditions La Porte)

Grand courage de Ghislaine Lejard , celui de s'attaquer au mythe d'Orphée et Eurydice ! Mais quelle réussite, car l'angle est si inédit: le Temps. Sanda Voïca

Beaucoup de « raccourcis » dans l'écriture, densité donc . Bernard Perroy

« La mort se présente en invitée, le Temps bascule et Eurydice meurt sa mort ( comme on dirait: vit sa vie), tandis que Orphée se met au silence et que le Temps...réapparaît en blanc. Jeanpyer Poëls

 
C’est avec le temps en toile de fond, le temps éclaté ou dressé en barricades, que Ghislaine LEJARD revisite l’histoire d’amour que nous a léguée la mythologie grecque – histoire d’amour éternelle et, dans son éternité, toujours contemporaine. Le poète trace, d’un geste de ses mots, la force du désir. Désir/délire, toujours recommencé. Une force agissant jusqu’à l’éclatement du cri – jusqu’à la transparence de l’être, la naissance de l’étoile dans le grand mystère du monde. Jean-Claude Coiffard
 Beau plaisir de l'âme de découvrir tes mots encore immaculés, posés sur les lignes du temps qui passe. Michel-Xavier Fressard
« Il y a dans ces deux inséparables -Orphée et Eurydice- toute la précarité de nos vies, le grand jour et l'infini de la tendre nuit: notre éternité qu'alimente non la brûlure des regrets mais la vive flamme du souvenir. » Jacques Boislève

 
C'est avec grand plaisir et d'un souffle  que ta poésie se lit, touchant du doigt le temps qui file et l'éternel qui demeure.   Gaston Bouatchidzé 



Sous le carré bleu du ciel (Éditions  Henry)

 J’aime que vos mots murmurent tout bas et papillonnent dans le frisson du vent.Gabriel Ringlet

Rien de plus difficile que ce lyrisme simple qui semble naturel, évident. De combien de peaux littéraires faut-il se dépouiller pour parvenir à cette écriture juste et personnelle ? Une réussite que ce livre qui ne cherche pas à impressionner mais à dire ce qui se passe « Sous le carré bleu du ciel » et cela seul nous importe.  Christian Bulting

La fraîcheur et l’intelligence de la belle poésie ; la poésie qui donne à rêver tout en allant et venant à travers les sentiers de nos mélancolies et de nos espérances.  Jean-Paul Mestas

C'est un bonheur de lecture, une finesse de touches, des notes qui se prolongent de page en page, à l'aune et sous le signe de ce très beau titre qui vient en conclusion, de façon révélatrice et lumineuse.  Eric Simon

Une dégustation savoureuse, bienveillante des saisons, de la vie subtile, évanescente mais essentielle.  Françoise Moreau

J'adore cette écriture qui témoigne d'une immense, immense capacité à demeurer dans le silence , condition pour approcher au plus près le bruissement de l' être.  Daniel Paradis


Un papillon sur l’épaule (Éditions Écho Optique) 

  Dans chacun de vos textes une poésie très fine prend son envol. Je m'y sens en pays de connaissance.  Jean-Vincent Verdonnet
  C’est léger et sensible très proche du haïku dans l’esprit.  Martine Gondalfo Modigliani

Votre papillon et le mien se parlent. Je profite d’un silence dans leur entretien pour vous remercier.  Christian Bobin

 Petits justes ou haïkus, des poèmes à la mesure en tout cas de l’humaine condition, avec quelques mots résonnants autour, plus longtemps, plus loin : depuis par exemple « l’ombre » que « le chat guette » jusqu’à ce « regard » comme « un ruisseau de lumière/ bleue .  Martine Morillon-Carreau

  Un regard tout en simplicité sur les êtres et le monde, « la redoutable simplicité » dont parlait Henri Thomas. Ces poèmes dans leur fraîcheur et leur légèreté ciblées retrouvent souvent le caractère vibrant du haïku. Roland Halbert

Peu de mots suffisent pour vous .Tel détail peut se muer en signe. Trois vers, mais une charge immense de sens et l’univers bascule. Ils nous procurent comme une sensation de totalité première. J’aime qu’un tournesol rende la nuit solaire ; que la brise ait allure de cavale, que le verre en sa brisure implore un baiser, que le miroir, bien que terne, veuille s’envahir d’un bleu regard. Le papillon m’a toujours fasciné, comme l’abeille, la goutte de rosée sur le bord de l’instant illimité, tout le frémissement du monde. Gilles Baudry

Des petits poèmes reflets sur la vitre, des ailes du langage qui se posent sur l'épaule comme un papillon [ ... ] Nous sommes proches de ce que le moine Zen appelle dans son langage le Satori c'est à dire l'extase du rien, le chemin vers le grand Tout du quotidien. Yves Moulet


Musiques de l’absence (Éditions Pinson)

«Des poèmes sensibles et intimistes.  Julien Gracq 

 J’aime bien votre ton de nostalgie, votre insatisfaction douce sans être résignée où la poésie trouve souvent ses meilleurs accents.  Gérard Le Gouic

Un livre qui vibre de nostalgie et frémit de désirs de sources vives.  Kenneth White
Il y a dans vos vers une nostalgie déchirante, beaucoup de spiritualité et une infinie tendresse .Ils sont à la fois tristes et lumineux et j’y ai puisé une forme très précieuse de réconfort. Jeanne Bourin

« Ne laissons pas les orages amers
déferler en vagues mourantes
sur les récifs de nos peines ... »
dit le poète car les heures bleues où l'innocence et la pureté se donnent la main, laissent place au dur carillon du deuil et des peines d'enfance. Le poème cautérise les nostalgies, se transforme en déclaration d'amour à la vie. Yves Moulet

Des mots « d'hier » comme tu le dis, qui passent les années car fondus dans l'empreinte du temps éternel... Des textes comme je les aime, resserrés, concis, transcendants, lumineux ! Michel-Xavier Fressard

 
Recueil pour enfants:

Il pleut des étoiles (Éditions de  l'Epinette ) illustrations de Talou

 Des poèmes qui me touchent, m'émeuvent, trouvent une résonance en moi me font redécouvrir, aimer le quotidien, voir, sentir la grâce de ce qui risque de passer inaperçu. Monique Giroud